Dans la matinée du 18 novembre 1918 arrivèrent les premiers poilus de l’avant-garde du 47e Régiment de Ligne. A 15 h 00, un grand cortège comprenant les pompiers, les vétérans français, la société de gymnastique et un groupe de jeunes filles habillées en Alsaciennes, quitta la place, musique en tête, pour aller à leur rencontre, au milieu de l’enthousiasme général.